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Daniel Christian

VOITURE MYSTERE N° 10....

Messages recommandés

Grr, elle a le profil de l'Aston Martin DB3/4/5, mais il y a trop de points différents... Une réplique ?

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bonjour les Amis,

pour GRAMMOUX et GOLFHUNTER...désolé ce n'est pas une Aston Martin...celà aurait été vraiment trop facile...

Bonne recherche...

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Golfhunter a écrit:
Je me disais aussi ... scratch


Ben oui...

Par contre c'est une miniature, non ?

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Bonsoir,

désolé SAMOURAI et CECAMS il ne s'agit pas d'une belle italienne...

désolé aussi FRAGDOKTOR...ce ne sont pas des feux AR de volvo...

Bonne recherche et bonne soirée à tous

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Bon j'aurais jure que c'est une italienne. Bon alors si ce n7est pas une italienne, ca ne peut qu'etre une anglaise

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Bon j'aurais jure que c'est une italienne. Bon alors si ce n7est pas une italienne, ca ne peut qu'etre une anglaise

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Que je suis content de vous avoir montrer le bon chemin....alors je pense qu'il s'agit d'une TRIUMPH mais ne me demandz pas le nom du modele....

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Réponse à Samouraï tu fais bien avancer le schilbilick... CAR

ce véhicule utilise des éléments mécaniques Triumph...de TR3 pour être précis...

il ne te reste plus qu'à trouver la marque....BONNE CHANCE...

Peut être cette photo couleur vous inspirera...



BONNE CHANCE A TOUS...

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Bonjour les Amis : dans l'ordre :

bonjour Joe : non ce n'est pas une Ginetta...

NOUS SAVONS QUE C'EST UN VEHICULE ANGLAIS UTILISANT
UNE MECANIQUE DE TRIUMPH TR3...

Bonjour Yuna :

désolé mais ce n'est ni une Sunbeam ni une AC Greyhound...

Désolé et BONNE CHANCE...

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Désolé Joe, ce n'est pas une Bonde....

Allez un INDICE :

CETTE MARQUE N'A EXISTE QUE QUELQUES ANNEES...PUIS S'EST

ARRETEE FAUTE DE DIFFICULTES FINANCIERES...

BONNE CHANCE...

Tiens où est passé NUT'S ????

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Daniel Christian a écrit:

ARRETEE FAUTE DE DIFFICULTES FINANCIERES...


Tu es sûr ? scratch






Laughing

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Salut Grammoux...

c'est vrai que ma phrase est drôlement formée, il FAUT LIRE :

MARQUE ARRETEE POUR CAUSE DE DIFFICULTES FINANCIERES...

je peux encore vous donner un super indice...

le créateur a ensuite redémarré mais pour peu de temps et sous une autre

appelation...

ALLEZ BONNE RECHERCHE...

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maintenant que Nut's s'est encore laché, on peut avoir un peu plus d'info sur cette histoire? What a Face

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Salut à tous,
Comment ? tu avais donner assez d'indices pour embarquer sur gogol, mais ...
Keep your secret secret !

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Bonsoir,

voici plus de détails :

PEERLESS Gran Turismo

1. De l'idée aux premiers prototypes

L'histoire débute en 1956. Jim Byrnes, hôtelier et passionné de belles automo-
biles sportives, commandait à Bernie Rodger, réputé pour ses compétences en
la matière, la réalisation d'une voiture de sport pour son usage personnel. Face
à l'intérêt que suscita le projet, les deux hommes décidèrent d'investir dans
la fabrication en petite série de cette GT.

Les relations privilégiés qu'entretenait Jim Byrnes avec des cadres de chez
Triumph (des clients de son nouveau restaurant à Warwick) lui permirent
d'obtenir de cette firme la fourniture des composants mécaniques. Le pro-
totype fut ainsi finalisé à partir d'éléments de TR3.

Les premiers essais s'avérèrent concluant. Jim Byrnes s'empressa de montrer
cette nouvelle voiture à son ami John Gordon, vendeur d'automobiles de luxe.
Son avis éclairé était primordial pour Jim Byrnes.

John Gordon, qui intégra rapidement la petite équipe, avait une approche très
positive du projet, mais suggéra à Jim Byrnes quelques modifications, dont
l'accroissement de l'habitabilité, pour en faire une vraie 2 + 2, qui répondrait
mieux aux attentes du marché. Un second prototype à quatre places assises
était construit, et exposé au salon de Paris 1957. La direction de Triumph fut
impressionné par le travail réalisé, et donna son accord pour la fourniture des
moteurs pour une fabrication en série.

2. Les débuts de la production

La production débutait dans une ancienne concession Jaguar à Slough. Le choix
du nom Peerless faisait référence au constructeur américain de voitures de
prestige Peerless, dont l'une des branches fabriquait des poids lourds. Après
la première guerre mondiale, ces camions laissés sur place par les américains
furent remis en état à Slough, pour être revendu sur le sol britannique.

Le choix d'une carrosserie en matière synthétique s'imposa rapidement, en
raison des économies évidentes de coût que supposait l'utilisation de ce nouveau
matériau. L'intérêt qu'avait suscité l'exposition de la voiture à Paris pouvait
laisser espérer une production de 1500 voitures par an.

Un distributeur américain se proposait d'en écouler 80 par mois dans un
premier temps. Les trois premiers exemplaires de série sortaient de chaîne
en mai 1958.

Les communiqués de presse présentait la Peerless comme " La voiture de
sport pour le père de famille ", ou comme " La voiture pour l'homme jeune qui
désire une femme, une famille et une voiture de sport ".

3. L'engagement au Mans

Afin d'accroître la réputation de la marque, il fut décidé d'inscrire la voiture
à la déjà mythique course d'endurance des 24 heures du Mans en 1958. Il ne
pouvait pas y avoir meilleure publicité pour démontrer la fiabilité de l'engin.

Le résultat de la course fut tout à fait honorable, puisque après 24 heures de
pluie continue, la Peerless terminait en 16ème position. Cet accès à la notoriété
eu des conséquences rapides sur le niveau des ventes. Afin de répondre à la
demande, la jeune société s'installait dans des locaux plus spacieux, Farnham
Road à Slough.

4. Un succès immédiat

La société réserva un stand au London Motor Show de 1959. L'accueil de la
presse spécialisée y fut enthousiaste, qui saluait les performances et le bon
de niveau de finition de la voiture. Cependant, Peerless peinait à atteindre des
chiffres de production suffisants pour répondre à la demande. L'usine parve-
nait tout juste à assembler cinq véhicules par semaine.

Le service commercial avait peu d'effort à fournir. Toute personne intéressée
était invitée à essayer rapidement la voiture, à payer une avance et ... à rejoin-
dre la liste d'attente qui ne cessait de s'allonger. La Peerless n'était pourtant
pas particulièrement bon marché. Son prix hors taxe atteignait 998 £ (+ 500
£ de taxe), alors que celui d'une Triumph TR3 était inférieur à 1000 £ avec
les taxes.

Des investissements furent consenti pour doubler le volume de production.
Cela eu pour effet une réduction rapide des délais de livraison.

5. De la phase 1 à la phase 2

A la vue de l'expérience acquise dans la production des 239 modèles de la
phase 1, plus de vingt améliorations furent incorporées dans la conception de
la nouvelle Peerless phase 2, présentée en juillet 1959. De nouveaux moules
de carrosserie permirent d'obtenir une Peerless P2 plus légère et plus rigide.

Esthétiquement, les phares avant étaient plus enfoncés dans les ailes, et une
grille de calandre plus conventionnelle remplaçait l'emblème " P " de la premiè-
re série. La double bosse sur le capot moteur était supprimée. Le châssis et
les éléments mécaniques ne bénéficiaient d'aucune modification notable.

6. Les premiers nuages

Avec les nouveaux moyens mis en oeuvre, il était visé une production hebdoma-
daire de 25 voitures. Les difficultés économiques que ne tarda pas à connaître
l'entreprise entraîna des remous au sein de la direction de Peerless.

John Gordon démissionnait en septembre 1959. Les fournisseurs commencèrent
à perdre confiance dans le projet, ce qui ne fit que accroître les difficultés.
Avant que l'affaire ne soit déclarée en faillite en février 1960, environ 50
voitures de la phase 2 étaient sorties d'usine.

7. John Gordon à l'origine de la Gordon Keeble

John Gordon se lança dans un nouveau projet, la Gordon GT, qu'il exposa au
salon de Genève 1960. Le dessin de cette Gordon GT était l'oeuvre du jeune
Giorgetto Giugiaro, alors chez Bertone. La GT était équipée d'un moteur V8
sur une idée de James Keeble, auteur d'une Peerless à moteur américain.
La Gordon GT sera commercialisée sous la marque Gordon Keeble à partir
de 1964, mais ceci est une autre histoire ...

8. Peerless devient Warwick

Une nouvelle société fut crée, et la production reprit sous la marque Warwick
(lieu de naissance du projet initial) animée par Bernie Rodger. L'ambition était
de poursuivre la fabrication de l'auto, mais à plus petite échelle. De nouvelles
améliorations furent apportées à la voiture. Les installations déménagèrent à
Horton près de Slough. La Warwick GT était commercialisée à partir de l'été
1960.

Elle était toujours dotée d'une carrosserie en matière synthétique, mais ren-
forcée grâce aux progrès réalisés dans l'usage de la fibre de verre. Le capot
moteur basculait d'un seul bloc, à la manière des Triumph Herald. La mécanique
était toujours d'origine Triumph TR3. Un projet d'installation de moteur Buick
tourna court.

L'aventure Warwick ne tarda pas à faire faillite à son tour. La dernière des 40
Warwick GT fut produite en janvier 1962.

Article réalisé grâce à l'aimable collaboration de Jon Nolan. Pour plus
d'informations, consultez son site très complet : www.peerless-gt.co.uk

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